A propos
ISBN : 978-2-9584215-02 – Reliure : Dos Carré Collé Cousu avec couture apparente (fil rouge) – Format : 24 x 17 cm à l’italienne, 330g – 104 pages, Intérieur: impression quadri recto verso .
Erick Gaussens est Docteur d’Etat en Mathématiques. Depuis 1980, il a développé une « carrière » multi facettes : de chercheur à entrepreneur, pour une grande variété d’Entreprises innovantes, et dans de multiples cadres, industriel, institutionnel (ESA, DARPA, CEE…) ou académique (France, Pays Bas, Royaume Uni).
Mais son jardin secret, son fil conducteur sensible, sont depuis son plus jeune âge l’écriture, la lecture, la musique, les images et plus généralement tous les aspects de la création artistique. En parallèle de sa vie professionnelle et avec plus ou moins d’intensité selon les périodes, il a constamment maintenu, c’était vital pour lui, ces activités. Il y a deux ans, il a décidé de ralentir ses travaux professionnels, pour consacrer plus de temps à la poésie, la musique et la photographie. Il a créé un site Hillwater-Square.com et, par amour du livre papier, s’est lancé dans l’édition d’un livre objet « Portes Cochères de l’Imaginaire » au contenu formé de poèmes, photographies et images, réalisés au fil du temps, avec un parti prix d’écriture : utiliser l’image non comme illustration mais comme support, comme porte ouverte, à l’inspiration. Et puis il souhaitait faire un beau livre, un objet en soi artistique, il a confié la couverture et mise en page à une graphiste (Marie Bondeelle), choisi une reliure à l’Italienne cousue, et sélectionné pour le papier de couverture un Fedrigoni Tintoretto Ceylon Cumino 350 g/m2, et, pour l’intérieur, un Fedrigoni Arena white rough 140 g/m2.
Suggérer plutôt que dire :
Textes et images sont écrits pour faire rêver, suggérer, inventer une histoire. Une démarche sur le fond humblement proche des impressionnistes ou des poètes Chinois de la période Tang (VIIIème siècle) : faire partager une réalité vue et s’effacer pour y laisser le lecteur
Une écriture simple et fluide :
L’objet n’est pas d’épater mais de partager en recherchant l’exactitude du rêve, le refus des termes inadaptés ou inutilement cultivés, la recherche d’une fluidité pour emmener tous les lecteurs dans un monde subtilement différent. L’auteur a certainement beaucoup lu Prévert et Khayyâm ou Ronsard. Sans chercher bien sûr à « faire du… », il est sincère…
Un voyage, une découverte :
On reconnait des lieux, des paysages, des moments que l’on a déjà croisés, mais l’auteur lui les voit avec le prisme de son monde poétique et du plaisir d’écrire ce qu’il ressent, pour partager des portes ouvertes, des portes cochères de l’imaginaire et peut être la liberté de regarder avec le cœur.