A propos
Publié le 23 février 2018 – Pages190 – Couverture souple en dos carré collé – Impression intérieure Noir & blanc – Dimensions 15,24 x 22,86 nn Un nom de tête d’affiche et une carte de visite étourdissante : pianiste, compositeur et chef d’orchestre, Oswald d’Andréa s’est produit sur les plus grandes scènes cinquante ans durant, tout en travaillant avec des géants de la chanson française – Georges Brassens, Catherine Sauvage, Boby Lapointe, Barbara, Maurice Fanon, Georges Moustaki… et tant d’autres ! Un César a couronné sa carrière : celui de la meilleure musique de film, pour le long métrage La vie et rien d’autre de Bertrand Tavernier – excusez du « peu »…nnL’écriture est un autre talent d’Oswald.nnAprès L’Oreille en lièvre (2002), premier opus autobiographique, il complète ici le récit d’une vie aux arpèges endiablées. Grand amoureux des balcons (on en perd le compte !), « L’Oreille » rédige ses mémoires comme il écrit une partition : d’accords en refrains, la composition du récit reste éminemment musicale. Et pour pimenter une « bio » déjà trépidante, l’artiste s’amuse même à y entrelacer une « histoire dans l’histoire » – celle d’une mystérieuse commande d’opéra, qui entraîne le lecteur dans un palpitant polar… mais chut !… Musique !