A propos
Le gros chat poilu à lunettes :
Ce que le titre ne dit pas, c’est qu’en plus de bêtes lunettes le gros chat poilu, au titre de maîtresse reconnue, était affligé d’une foutue grand-mère allumée, se signalant par des poils raides au menton et une haleine fétide.
Chaque fois que la vieille toupie se penchait pour lui susurrer de peu ragoûtants souvenirs d’alcôve, l’approche répandait de la buée sur ses verres, qu’un reste d’éducation lui interdisait d’essuyer…
« Et si tu savais… Et mon pauvre minet… Et sûr qu’en ce temps-là… ! »… Guili-guili, kitkat-kitkat : ça y allait, la confidence pestilentielle ! Le malheureux n’en pouvait plus ; croyez-moi, c’est rien de le dire qu’il étouffait ! […]